12 patients hospitalisés pour motif COVID : une détente de la situation qui demande à être confirmée


Les différents indicateurs concernant la COVID sont dans une tendance de baisse au niveau de la population.
Cela se traduit au sein de nos hôpitaux par une décrue du nombre de patients hospitalisés pour motif COVID. Cette situation doit tout de même être surveillée pour que la détente soit confirmée ou infirmée.

Ainsi, nos équipes prennent en charge ce jour 12 patients hospitalisés pour motif COVID dont 2 en surveillance continue :

  • 4 au CH de Béthune Beuvry, dont 1 en surveillance continue ;
  • 8 au CH de Lens, dont 1 en surveillance continue ;
  • Aucun aux CH d’Hénin-Beaumont et de La Bassée qui prennent en charge par ailleurs des patients « post-Covid » dans des secteurs dédiés des unités de Soins de Suite et Réadaptation.

En cohérence, notre capacitaire s’adapte au plus près du besoin. Ainsi, nos établissements mettent en œuvre actuellement, 16 lits et places dédiés COVID déclinés ainsi :

  • 6 lits d’hospitalisation conventionnelle au Centre Hospitalier de Lens ;
  • 10 lits au Centre Hospitalier de Béthune Beuvry dont 3 lits de réanimation, 3 lits de soins intensifs pneumologiques et 4 lits d’hospitalisation conventionnelle.

Par ailleurs, 55 patients pris en charge pour d’autres motifs sont diagnostiqués COVID au sein de nos hôpitaux.
Ils bénéficient d’attentions particulières, en particulier en termes d’évolution éventuelle de leur pathologie COVID.

Afin de contribuer à la protection de nos patients, résidents et professionnels, et afin de limiter les tensions sur nos services de soins, nous rappelons l’importance des gestes barrières ainsi que du vaccin et de son rappel.
Pour rappel, le port du masque est toujours requis au sein des établissements de santé. Leur accès reste soumis à la présentation d’un pass sanitaire (pass vaccinal ou test de moins de 24h), sauf pour les urgences, les visites en Soins Palliatifs, les séances d’Hémodialyse, la PASS (Permanence d’Accès aux Soins de Santé), les consultations de médecine légale et la rétrocession de la pharmacie.