20 patients hospitalisés pour motif COVID : une situation qui évolue peu et qui nécessite une attention constante

Le nombre de patients positifs à la COVID au sein de la population est toujours stable. Cela se traduit au sein de nos hôpitaux par une situation constante du nombre de patients pris en charge pour motif COVID ainsi que du nombre
de professionnels en arrêt.
Ainsi, nos équipes prennent en charge ce jour 20 patients hospitalisés pour motif COVID dont 1 en soins intensifs :

  • 8 au CH de Béthune Beuvry, dont 1 en soins intensifs ;
  • 12 au CH de Lens en hospitalisation conventionnelle ;
  • Aucun aux CH d’Hénin-Beaumont et de La Bassée qui prennent en charge par ailleurs des patients « post-Covid » dans des secteurs dédiés des unités de Soins de Suite et Réadaptation.

Du fait de cette stabilisation, nous maintenons notre capacitaire dédié avec des adaptations à la marge au plus près de la situation. Ainsi, nos établissements mettent en œuvre actuellement, 19 lits et places dédiés COVID déclinés ainsi  :

  • 9 lits d’hospitalisation conventionnelle au Centre Hospitalier de Lens ;
  • 10 lits au Centre Hospitalier de Béthune Beuvry dont 3 lits de réanimation, 3 lits de soins intensifs pneumologiques et 4 lits d’hospitalisation conventionnelle.
    Par ailleurs, 66 patients pris en charge pour d’autres motifs sont diagnostiqués COVID au sein de nos hôpitaux.Ils bénéficient d’attentions particulières, en particulier en termes d’évolution éventuelle de leur pathologie COVID.

Afin de contribuer à la protection de nos patients, résidents et professionnels, et afin de limiter les tensions sur nos services de soin, nous rappelons l’importance des gestes barrières ainsi que du vaccin et de son rappel.
Pour rappel, le port du masque est toujours requis au sein des établissements de santé. Leur accès reste soumis à la présentation d’un pass sanitaire (pass vaccinal ou test de moins de 24h), sauf pour les urgences, les visites en Soins Palliatifs, les séances d’Hémodialyse, la PASS (Permanence d’Accès aux Soins de Santé), les consultations de médecine légale et la rétrocession de la pharmacie.